QUIZZ P2F E3 J4/4

Vous l’attendiez tous, la voilà, la dernière journée de la troisième série du grand QUIZZ P2F. Qui gagnera la troisième Pinte d’Or ?

Chaque semaine une photo sera soumise à vos connaissances et ou à vos recherches !

Mode de décompte des points selon identification dans les commentaires :

Identification du match/date : 5 points.

Identification de l’équipe : 2 points.

Identification d’un joueur : 1 point.

Note artistique : notation au bon vouloir du jury.

Fin des votes la veille de la prochaine publication, soit dans six jours ! Le classement et les réponses de la dernière journée seront dans la prochaine parution du Quizz P2F. A la fin des quatre premières journées, le classement désignera le champion. Champion qui remettra automatiquement son titre en jeu dès le début de la prochaine série avec à nouveau quatre autres journées.

La règle est simple, premier arrivé premier servi, à vos claviers !

Un grand merci à Dip pour son expertise.

Bonne chance !

Journée 3, réponse :

Equipe : Sélection du Maroc

Date : 1976

Joueurs :

Photo 2 :

Equipe : Paris Saint Germain

Date: saison 80-81

Classement :

  1. Odegaard-Du-Nord: 20 pts
  2. Bobbyschanno: 17 pts
  3. Ajde: 13 pts
  4. Verano82: 11 pts
  5. AlfredoPuskas: 9 pts
  6. AlexW, Khiadiatoulin: 5 pts
  7. Patxikudelatxams: 3 pts
  8. Xixon: 2 pts
  9. RuiCosta: 1 pt

26 réflexions sur « QUIZZ P2F E3 J4/4 »

  1. J’ai cru un instant qu’il s’agissait de Flu mais le logo SPFC bien visible atteste qu’il s’agit du São Paulo FC. Je ne reconnais que 2 joueurs : l’immense Zizinho et le funambule Canhoteiro en bas à droite. Une équipe de la fin des années 1950, Zizinho est sur la fin, probablement entrainée par Vicente Feola (le sélectionneur du Brésil 1958).

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    1. Je pense que tu ne peux bénéficier du point pour Mauro, il y a trop de Mauro dans le foot brésilien pour que ce seul prénom soit acceptable eh eh eh.
      Il s’agit de Mauro Ramos, double champion du monde 58 et 62 et par la suite compagnon de Pelé à Santos.

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    2. Je pense que tu ne peux bénéficier du point pour Gino, il y a trop de Gino dans le foot brésilien pour que ce seul prénom soit acceptable eh eh eh.
      Il s’agit de Gino Orlando, le buteur que Vavà supplante en sélection pour la CM 58.

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    3. Je pense que tu ne peux bénéficier du point pour Vitor, il y a trop de Vitor dans le foot brésilien pour que ce seul prénom soit acceptable eh eh eh.
      Il s’agit de Victor Ratautas, dit Vitor, celui qui marquait Pelé dans les sommets SPFC – Santos.

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      1. Justement tu es un supporter du PSG!
        Quand tu veux ton quiz,ALLEZ GOOZI ALLEZ GOOZI GOOZI GOOZE GOZZI GOOZE

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      2. De manière rarissime, il apparaît parfois sur le web une personne remarquable : soif d’apprendre, encouragement permanent envers d’autres et humilité. Une telle personne ne peut qu’avoir reçu une éducation parentale exceptionnelle : Tal’calzu, tal’magliolu, tal babbu, tal’figliolu.

        Pinte2foot a la chance d’avoir une telle personne. C’est Goozigooze. Il semblerait qu’il soit un supporteur du PSG. Pour lui, je vais donc commenter en détail cette photo du PSG 1980-1981 :

        – Il y a trois Dominique : Baratelli, qui a commencé sa carrière pro à Ajaccio ; Bathenay, qui jouait alors encore au milieu (et non pas encore libéro) ; Rocheteau (qui venait d’arriver au PSG et a donc raté le dernier titre de D1 des verts en 1981).

        – Il y a trois joueurs qui ont disputé la finale de coupe de France 1978 avec Nice : Baratelli ; Huck (qui formait un superbe milieu de terrain avec Guillou et Jouve à Nice) ; Toko, qui a la particularité d’avoir marqué le premier but du PSG en coupe d’Europe (contre le Lokomotiv Sofia au Parc en 1982) ainsi que le but vainqueur du PSG lors de ce qui est sûrement la plus belle finale de coupe de France (en 1983 contre Nantes). Nice avait été battu par le Nancy de Platini et de l’entraineur Redin en finale de coupe de France 1978. Redin entraina ensuite Bastia et gagna de nouveau la coupe de France en 1981. C’était contre le Saint-Etienne de son ancien joueur vedette, Platini.

        – Il y a deux joueurs qui sont nés à Saint-Germain-En-Laye et qui ont joué au Stade Saint-Germain (qui existait avant le PSG) : Eric Renaut et Thierry Morin.

        – Il y a trois des 4 mousquetaires du PSG : Morin, Pilorget (qui a longtemps détenu le record du plus grand nombre de matchs du PSG) et Francois Brisson (qui s’est distingué lors des JO de 1984 en gagnant la médaille d’or avec l’équipe de France et en marquant un but en finale contre le Brésil). Le quatrième mousquetaire, Lionel Justier (Juju) était à Brest lors de cette saison 1980-1981. De plus, le frère jumeau de François Brisson (Gilles Brisson) a aussi joué au PSG.

        – Luis Fernandez n’était probablement pas encore naturalisé français lors de cette photo et était donc encore espagnol. Luis avait ensuite disputé la finale de l’Euro 1984 avec la France contre l’Espagne, dont les joueurs avaient été exécrables : ils n’ont pas arrêté de traiter Fernandez de traitre, ce à quoi il répondait en embrassant le maillot français.

        – Cependant, le joueur le plus intéressant pour moi sur cette photo est Antoine Garceran, car très peu de supporteurs actuels du PSG doivent connaître son nom. Je parierai que moins de 1% de ces supporteurs pourront dire qui il est, en montrant cette photo. Tony a fini sa carrière au Gazélec Ajaccio.

        – Il manque cependant trois titulaires sur la photo, un par ligne : le défenseur brésilien Abel Braga, qui entraina ensuite l’OM ; le génial milieu algérien Dahleb ; l’attaquant sénégalais Sarr Boubacar. Il y avait donc une ligne d’attaque Toko-Rocheteau-Boubacar soutenue par Dahleb juste derrière. Du très haut niveau.

        – Un petit extra (probablement difficile à trouver) pour Goozigooze : Le PSG de 1980-1981 n’avait encore rien gagné comme trophée. Ce n’était pas le cas de ses équipes de jeunes. Par exemple, l’équipe minime du PSG avait gagné son groupe de championnat d’Ile-de-France lors de cette saison 1980-1981 (l’autre groupe avait été gagné par PFC). Il y avait Olivier Martinez dans cette équipe minime de PSG 1980-1981. C’était un défenseur central qui jouait alors en équipe de France minime (catégorie la plus jeune pour l’équipe de France) et a ensuite joué quelques matchs en équipe A du PSG.

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      3. Jolie plongée dans les archives de l’époque héroïque du PSG. Garceran n’a-t-il pas joué à Reims, de mémoire ? En tout cas, je suis à peu près certain que Dahleb jouait beaucoup plus souvent à l’aile gauche qu’au milieu. Pour voir ce dont l’artiste était capable, il y a les images de ce slalom phénoménal en finale de la Coupe de France 1982-83 face à Nantes où il dribble la moitié de la plus belle équipe des Canaris de tous les temps et place un tir au ras du poteau de Bertrand-Demanes… du mauvais côté, pour 20 centimètres.

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      4. Avec plaisir. C’est sincère.

        Pour répondre à g.g.g. :

        – Dahleb pouvait jouer ailier gauche mais également meneur de jeu. C’est l’entraîneur du PSG Vasovic qui a eu l’excellente idée de le replacer en meneur de jeu (Vasovic, et non Cruyff, était le capitaine de l’Ajax vainqueur de sa première C1).

        – Antoine Garceran a bien joué à Reims. Il y est arrivé quand Carlos Bianchi en était parti pour rejoindre le PSG. Garceran est ensuite arrivé au PSG quand Carlos Bianchi est parti à Strasbourg. Antoine Garceran a donc raté les deux titres de meilleur buteur de Carlos Bianchi au PSG (première fois qu’un joueur du PSG gagnait ce titre).

        – Avant de jouer à Reims, Garceran a porté le maillot de Valenciennes. Il a croisé là-bas un autre joueur sûrement oublié de nos jours et qui est Robert Jacques. Ce dernier a largement contribué au premier titre de D1 du PSG en 1986. Garceran a aussi croisé Kourichi à Valenciennes. Kourichi est un ami de Dahleb. Les deux occupaient souvent la même chambre en équipe d’Algérie, y compris pendant la coupe du monde 1982.

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  2. Merci pour la précision sur Dahleb parce que dans mon souvenir infantile, il était plus attaquant que milieu de terrain (même si, comme pour quelques autres rares ‘fuoriclasse’, la différence est parfois purement sémantique).

    Puisqu’on parle d’Ajax, doit-on considérer Rinus Michels ou Stefan Kovacs comme le coach emblématique du Grand Ajax ?

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    1. Moins qu’on puisse dire est que j’ai peu d’estime pour Michels, type qui excella dans l’appropriation culturelle et l’aliénation athléticiste du jeu/art-football. Mais si coach emblématique il faut retenir dans l’Histoire de ce club, pour de bonnes et de mauvaises raisons : c’est lui.

      Kovacs, même les joueurs ne le prenaient pas au sérieux, « juste bon à distribuer les jeux de cartes » (dixunt les principaux intéressés). J’en pense que ce fut injuste, sinon des salissures il n’y a pas grand-chose à retirer des petits cons (pour plupart) composant ce grand Ajax, et je crois bien que ce qu’on prête à Kovacs (avoir libéré les joueurs, disons) est fin des fins moins usurpé que ce qu’une doxa mi-mercantile mi-idiote prête à Michels..mais entre les deux et en fait de trace laissée à Ajax, y a pas photo!

      Que ce fût positif pour Ajax, vénalement parlant : oui, il est incontestable que le club sortît gagnant de l’expérience Michels.

      Que ce fût positif pour le jeu, le foot, la santé des joueurs, l’Histoire du jeu, les médias…., hum….

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