QUIZZ P2F E2 J4/4

Vous l’attendiez tous, la voilà, la quatrième et dernière journée de la deuxième série du grand QUIZZ P2F. Qui gagnera la deuxième Pinte d’Or ?

Chaque semaine une photo sera soumise à vos connaissances et ou à vos recherches !

Mode de décompte des points selon identification dans les commentaires :

Identification du match/date : 5 points.

Identification de l’équipe : 2 points.

Identification d’un joueur : 1 point.

Note artistique : notation au bon vouloir du jury.

Fin des votes la veille de la prochaine publication, soit dans six jours ! Le classement et les réponses de la dernière journée seront dans la prochaine parution du Quizz P2F. A la fin des quatre premières journées, le classement désignera le champion. Champion qui remettra automatiquement son titre en jeu dès le début de la prochaine série avec à nouveau quatre autres journées.

La règle est simple, premier arrivé premier servi, à vos claviers !

Bonne chance !

Photo Bonus !

Un grand merci à Dip pour son expertise.

Troisième journée, la révélation :

Équipe : Algérie

Date : 1982

Match : Coupe du monde

Joueurs :

De gauche à droite :

Debout : Kourichi, Larbès, Mansouri, Cerbah, Merzekane et Guendouz.

Assis : Bourebbou, Bensaoula, Assad, Madjer et Fergani.

Classement :

  1. AlexW: 20 pts
  2. Verano82: 17 pts
  3. Odegaard-Du-Nord: 13 pts
  4. RuiCosta: 10 pts
  5. Khiadiatoulin: 7 pts
  6. Bobbyschanno: 6 pts
  7. Ajde, Xixon: 4 pts
  8. Pig Benis, Alfredo Puskas: 3 pts
  9. MC Fetz, Nanagone: 2 pts
  10. 411 VM: 1 pt

La dernière journée va être décisive ! Grosse remontée de Verano 82 qui menace AlexW. A noter la belle apparition de 411 VM dans le classement.

29 réflexions sur « QUIZZ P2F E2 J4/4 »

  1. Allez, je tente ma chance !
    Vu le stade en fond, je dirais Sélection de l’Uruguay, peut-être en finale de la CDM 1930 ?
    Je connais aucune joueur par contre ^^

    Pour la 2e…
    Ben… Instinctivement, je dirais River Plate, mais ils ont pas trop la gueule d’Argentins les mecs ^^
    Donc ben… Je sais pas…
    Rayo Vallecano ?

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    1. Sí señor ! Finale 1930 Uruguay-Argentine.

      Debout en partant de la gauche: le 2e c est Nasazzi, le 5e Andrade.
      assis: le 1er je le reconnais pas, puis y’a Scarone, Cea, Castro, Iriarte dans l’ordre.
      Il doit y avoir aussi Ferandez, Ballestero et Gestido, surement dans lea debouts.
      Et les 2 derniers m echappent.

      Buenas noches.

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  2. Allez, je joue uniquement la photo bonus que je ne connaissais pas. (L’autre elle est facile :))

    Rayo Vallecano saison 1966-67 qui termine 6e de la 2e division espagnole.
    La photo est issue du match de championnat de la 24e journée en déplacement à Gijón le 12 mars 1967 qui s’est soldé par une défaite 2-1.

    Debout (de gauche à droite): Sepúlveda, Benito, Hernández, Chufi, Herrero et Echarri.
    Accroupis (de gauche à droite): José Luis, Aparicio, Iznata, Iriarte et Echazarra.

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  3. Il s’agit bien sûr de l’Uruguay lors de la finale de la CdM 1930.
    Debouts, de gauche à droite : Gestido, Nasazzi, Ballestero, Mascheroni, Andrade, Fernandez.
    Accroupis, de gauche à droite : Dorado, Scarone, Castro, Cea, Iriarte.

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  4. Je vois que tout a été dit cent fois, et beaucoup mieux que par moi.

    J’avais Nasazzi, Andrade, Scarone, Castro. Et le Centenario, Coupe du Monde 1930 probablement.

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  5. Concernant la première photo, je vous donne en bonus les 2 membres du staff debout (que je pense, personne n’ira identifier): le 1er à gauche: Ernesto Fígoli et le dernier à droite: Luis Grecco. Ils étaient là en tant que masseurs à ce moment-là.

    Fígoli a été également le sélectionneur titré (plusieurs fois) de cette équipe et Grecco avait été par le passé joueur international, puis sélectionneur (finaliste en 1927).

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  6. J’arrive !!!! Bon, tout a été dit ou presque.
    A propos d’Uruguay 1930, pourquoi Ballestrero et non Mazali en tant que gardien ? Eh bien parce que le bel Andrés, vainqueur des JO 1924 et 1928, s’est autorisé quelques libertés par amour durant la phase de préparation à la CM 1930 et a été exclu au profit de Ballestrero (Goozy, une anecdote à laquelle tu ne peux qu’être sensible et qui vaut a minima une quinzaine de points).
    Sur la seconde photo, c’est bien le Rayo et à domicile, on reconnaît les immeubles de brique rouge qui entourent le stade de Vallecas. Et pourquoi ce maillot si caractéristique (pour ceux qui n’ont pas lu l’article sur le centenaire du Rayo, il est encore temps) ? Le Rayo évoluait en blanc à l’origine mais quand le club est devenu filiale de l’Atlético, hors de question qu’il joue avec un maillot blanc uni comme le Real. Quand c’est le Real qui a fait du Rayo un club satellite, le blanc est redevenu la couleur officielle. Puis au début des 50es, River Plate est venu en Europe pour une tournée. Durant son séjour madrilène, les Millonarios se sont entrainés dans les installations du Rayo. En hommage à leur prestigieux invité, le maillot du Rayo est alors devenu définitivement blanc avec une diagonale rouge (Goozy, toi qui est aficionado du Rayo, tu admettras que ça vaut beaucoup de points EH EH)

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  7. Allez, pour la gloire et la note artistique !

    Photo 1 :
    Il faisait beau et chaud ce jour-là, quand l’équipe d’Angleterre, vêtue de son haut blanc et de son short bleu traditionnels, se déplaça en Espagne pour decider, une bonne fois pour toute, de qui aurait la garde de Gibraltar. La foule était venue en nombre dans le stade Ramón Sánchez Pizjuán de Séville, conférant un avantage certain aux Espagnols, évoluant à domicile.
    Mais les Anglais étaient confiants. Ils venaient avec leur équipe-type du moment, à savoir :
    Debout : Oliver Bennett, arrière droit de Bolton, James Harrison, ailier droit de Manchester United et grand-père maternel de Wayne Rooney, William Davies, gardien de but à Nottingham Forest, George Cooper, légendaire défenseur central de Derby County, Henry Thompson, milieu de terrain à Chelsea, et Samuel Baker, ailier gauche à Fulham.
    Accroupis: Charlinho Evans, né au Brésil et recueilli, orphelin, à l’âge de quatre ans, par un couple de Britanniques en vacances à Copacabana, attaquant de Newcastle, Edward Parker, son coéquipier en attaque en club, qui n’avait pas eu le temps d’aller chez le coiffeur avant de disputer la rencontre, ayant dilapidé sa paye de la semaine au City Tavern, Arthur Morris, élégant milieu de terrain d’Arsenal, Thomas Wright, défenseur central évoluant au Celtic Glasgow, et enfin John Conti, défenseur gauche à Brighton et d’origine italienne.
    L’équipe était encadrée par son légendaire coach Tommy Brewster, situé à gauche sur la photo, accompagné de son assistant Eddie Pritchard.
    La rencontre fut annulée juste avant le coup d’envoi, l’arbitre Manuel Pablo Pérez Gutierrez ayant refusé le pot-de-vin propose par Eddie Pritchard pour faire gagner l’Angleterre. Si la somme exacte est inconnue, la preuve de la tentative de corruption est passée à la postérité, cet étourdi de Pritchard ayant oublié de cacher sa mallette au moment de prendre la traditionnelle photo d’avant-match.

    Photo 2 :
    On s’ennuyait parfois au service militaire. Pour la Division des Forces Françaises au Suriname, la vie n’était pas toujours facile. Se farcir les gradés à cheval sur la discipline qui vous demandent trois fois par jour de mieux faire votre lit ou de mieux plier vos slips, passe encore. Mais la bouffe était dégueulasse, c’était terrible. Et quand les plats étaient passables, ils étaient tellement épicés que personne dans la division n’arrivait à finir son assiette sans passer par le trône dans les 20 minutes. Mais je m’égare.
    Le 15 juin, Paulo mit la main sur un jeu de maillots du Pérou. Ce que ces maillots faisaient là, nul ne le sait. Mais Paulo décida de se faire prendre en photo comme une équipe de football, comme ça, pour passer le temps. Et voici donc, dans l’ordre :
    Debout : Lucas Dubois, né à Nancy, ébéniste de profession, Gabriel Laurent, venu de Limoges, agriculteur, Théo Martin, aimant se marrer et Poitevin (vous l’avez ?), maçon, Antoine Rousseau, ouvrier à Tourcoing, Nicolas Dupont, mineur à Saint-Etienne, et Maxime Leroy, commerçant à Alès.
    Accroupis : Hugo Garcia, boulanger à Troyes, Paul Leclerc, dit Paulo, chauffeur de taxi, receleur et adepte de combines en tous genres à Paris, Arthur Moreau, Parisien lui aussi mais cordonnier, Louis Durand, ouvrier à Grenoble, et Alexandre Girard, lui aussi ouvrier, venu de Caen.
    Il n’y eut pas de match, faute de trouver des beaux maillots pour l’équipe adverse.

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  8. Pour gratter un point, je donne 3 manchots célèbres dans le foot. El Manco Castro que l’on voit sur la photo. Robert Schlienz, capitaine de Stuttgart lors des premiers titres dans les années 50. Et François « Swa » Tuyaerts, joueur belge de Malines dans les années 60 !

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    1. Ah, c’est ici qu’on tapine? Alors j’ajoute Benji Commers de Saint-Trond..et avec lui, point besoin de remonter à Mathusalem : toujours actif (dans le foot d’élite, c’était il y a une douzaine d’années je dirais).

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  9. Comment avez-vous pu oublier l’élément le plus important de la photo de l’équipe uruguayenne ? Le ballon. Grâce à lui, l’Uruguay est passé de 1-2 à la fin de la première mi-temps (jouée avec un ballon argentin) à 4-2 en deuxième mi-temps.
    Et 1966-1967, ce n’est pas du Rayo Vallecano qu’il faut parler mais de la deuxième division française. Ajaccio champion et Bastia troisième.

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  10. La deuxième photo me rappelle celui qui est le plus grand rédacteur de Sofoot et le meilleur kiné de Paris, qui est supporter de ce magnifique club qu’est le Rayo. D’ailleurs en pensant au Rayo, ça me rappelle la grande invasion de puce de lit qu’ils ont vécu en 1966, année de la photo. Cela me fait penser par ricochet au film « Les parasites » réalisé par De Chauveron, un chef d’œuvre du cinéma français!

    Bref si Goose était le navigateur de Maverick, Gooze est la boussole de P2F. <3

    C'est tout pour moi!

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  11. Pour la finale de 1930, l’arbitre (John Langenus, anversois si ma mémoire est bonne) avait posé les conditions suivantes :
    – une escorte policière toute la journée de la finale, avant et après (surtout pour après)
    – un sauf-conduit pour ne pas avoir à passer les formalités de douanes et de sortie du territoire lors de son départ (du fait de celles-ci et du brouillard, quelques milliers d’argentins n’ont pas pu débarquer avant la fin du match après avoir traversé le Rio de la Plata le matin du match)
    – la garantie que le paquebot sur lequel il avait une cabine pour le soir-même l’attendrait pour appareiller même s’il arrivait en retard.

    J’espère pour lui qu’il avait demandé ses per diem de mission en francs suisses auprès de la FIFA parce que le lendemain, le gouvernement uruguayen a profité de l’euphorie pour dévaluer le peso…

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    1. Anversois, tout à fait. Suis en plein dedans d’ailleurs.

      Et plus précisément originaire de Berchem, là où survit un vieux stade grâce à la mobilisation des supporters.

      Je crois me rappeler qu’il gardait un bon souvenir de son expérience uruguayenne??

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  12. Je zappe tous les commentaires et je tente au pif: Uruguay 1930. Du coup soit le premier match du mondial, soit la finale. Je ne connais par contre aucun joueur. La deuxième photo, le Peru, par déduction sans doute la même année lors du mondial

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