Vous l’attendiez tous, la voilà, la quatrième et dernière journée de la première série du grand QUIZZ P2F. Qui gagnera la premiere Pinte d’Or?
Chaque semaine une photo sera soumise à vos connaissances et ou à vos recherches !
Mode de décompte des points selon identification dans les commentaires :
Identification du match : 5 points.
Identification de l’équipe : 2 points.
Identification d’un joueur : 1 point.
Fin des votes la veille de la prochaine publication, soit dans six jours ! Le classement et les réponses de la dernière journée seront dans la prochaine parution du Quizz P2F. A la fin des quatre premières journées, le classement désignera le champion. Champion qui remettra automatiquement son titre en jeu dès le début de la seconde série avec à nouveau quatre autres journées.
La règle est simple, premier arrivé premier servi, à vos claviers !
Bonne chance !
Un grand merci à Dip pour son expertise.
Troisième journée, la révélation :
Équipe : Italie
Date : 1968
Match : Championnat d’Europe
Joueurs:
De gauche à droite :
Debout : Salvadore, Zoff, Riva, Rosato, Guarneri et Facchetti.
Assis : Anastasi, De Sisti, Domenghini, Mazzola et Burgnich.
Pour en savoir plus à propos de la demi-finale de ce championnat d’Europe, qui aura vu l’Italie devenir championne, voici un superbe article :
Classement :
- Alfredo Puskas 31 pts
- RuiCosta 14 pts
- g.g.g., Karlo Misteph 7 pts
- Bison ravi, verano82 2 pts
- Nanagone, AlexW, Ubri, sainté 1 pt
Boca Juniors, finale Copa Libertadores 2000.
Le retour, au Morumbi.
Contre Palmeiras?
D’ailleurs, cette finale Libertadores 2000 entre Boca et Palmeiras, je me demande si c’est pas la dernière finale entre deux équipes de niveau mondial. Sans parler de la chute vertigineuse du foot de club sud-américain depuis 15 ans, seul Corinthians a réussi à battre Chelsea en 2012, les années 2000 marquaient déjà un declin.
Le Palmeiras de 99-2000 qui gagne et ensuite va en finale, avec Cesar Sampiao, Alex, Zinho, Junior, Roque Junior, Paulo Nunes…, c’est quand meme d’un autre niveau que celui qui a fait le doublé récemment.
@Khia
Toutafé, le gouffre avec l’Europe est devenu immense après.
Cordoba, Samuel ?
Bermudez, Ibarra et Burdiso.
Debouts : Ibarra, Bermudez, Cordoba, Riquelme, Arruabarrena, Traverso, Samuel.
Accroupis : Schelloto, Battaglia, Palermo, Basualdo.
Oui, mais quel Schelloto ?
Guillermo Barros.
C’est Schelotto, ça compte Gooze? Hein ça compte?
Le gardien, c’est Cordoba ou Charles Bronson jeune ?
Bon j’arrive après la bataille (la Battaglia eh eh). Boca entraîné par Carlos Bianchi.
Vainqueur aux TAB contre Palmeiras de Scolari.
Bon encore en retard ( le drame de ma vie 😁 ) … Évidemment Boca , finale retour Libertadores à Palmeiras , 21 juin 2000. Ibarra,Bermudez,Cordoba,Riquelme,Arruabarrena,Traverso,Samuel,Schelloto,Battaglia,Palermo,Basualdo. Après un 2-2 à la Bombonera, ils font 0-0 au Morumbi. Ils gagnent 4 tab 2 ( après 22 ans de disette ) .
L’inénarrable Roque Junior faisant partie de ceux qui loupent leur tir . Pour info, ce joueur reste un mystère pour le milaniste que je suis. Le seul défenseur de 1m86 qui était INCAPABLE de faire une tête ! Mieux , finale de Champions League contre la Juve en 2003 à Manchester ( quelle année ! Éliminer l’Inter en demi et gagner face à la Juve en finale 😁 …) , Roque Jr entre en fin de match , 66ème … et souffre de crampes ! Et des comme ça , ils nous en a fait un paquet ! Mais il devient champion d’Europe … Et il est champion du monde avec le Brésil … un mystère…
Quant au parcours de Boca cette année là ( quelle équipe !) , le 1/4 de finale contre River avec une défaite 2-1 au Monumental et une victoire …3-0 à la Bombonera ( dont un but de l’idole Palermo après 6 mois d’absence) reste dans les annales !
Perso, c’est le niveau de Dida qui m’a toujours interrogé. Etait-il bon ou passable? Les montagnes russes avec lui. D’ailleurs Scolari lui préféra Marcos, qu’il connaissait de Palmeiras, en 2002.
Et en parlant de Scolari. Sacrée carrière quand même. Deux Libertadores avec Gremio et Palmeiras. Le Mondial 2002 et la finale de l’Euro 2004. Reste évidemment le traumatisme du 7-1 à domicile en 2014. Ce match… J’avais vraiment de la peine pour le peuple brésilien. Quelle branlée. ..
Le 7-1 était irréel, un moment hors du temps…
Après, entre 1950 et 2014, quelle est la pire désillusion ? En 2014, le Bresil n’avait pas une équipe pour être championne du Monde, et ça s’est vu. En 1950, oui.
Le trauma est plus fort en 50, oui.
Marcos > Dida largement. En 2002, le Marcos il fait un mondial impeccable.
Dida était pas du tout rassurant… Heuresement que le Brésil 2002 ou le Milan 2003 avaient une sacrée défense devant lui.
Dida te fait une séance de tirs au but d’extraterrestre contre la Juve et te fait 2 gros matchs en demi face à l’Inter … le reste , c’est une parade de malade de temps en temps et une bourde dégueulasse par match …
Dida, dans un bon jour, il était très fort sur sa ligne. Au delà de ça, pas grand chose à sauver: irrégulier et particulièrement à la ramasse dans le jeu aérien malgré son gabarit. Ce mec était une souffrance pour tout fan de Milan. A un moment Kalac lui avait piqué sa place (grande période du Milan avec que des gardiens indignes).
En 2002, Scolari fait le bon choix en titularisant Marcos qui fait le tournoi de sa vie. En soi, il n’était pas intrinsèquement meilleur que Dida mais il a été très bon sur 7 matchs, ce qu’il fallait.
D’accord sur Marcos. Lui et Taffarel sont les deux qui ont chassé la mauvaise « image de marque » des gardiens brésiliens.
C’est Julio César qui était dans le but pour le 7-1, mais l’histoire ne lui en a pas tenu tort. C’est bien comme ça, parce que je le considère comme nettement meilleur que Dida. Pendant Brésil-Mexique au premier tour en 2014, par exemple, il n’avait été sollicité qu’une fois, sur un contre en toute fin de match, et avait sorti l’arrêt décisif qu’il fallait pour préserver le 0-0. On l’a oublié à cause de la parade à la Banks d’Ochoa plus tôt dans la partie, mais il avait fait un match de patron, comme Cüneyt Çakır au sifflet d’ailleurs.
Bon j’aurais pu les cités en 1minute 30 mais j’arrive après la guerre, y’a vraiment qu’on rien à foutre le matin hehehe
Magnifique équipe hein.
D’ailleurs, tu aimais déjà Boca avant d’aller en Amérique du Sud?
Oui, ça remonte justement à cette équipe, et à son numéro 10…
C’est un métier de savoir rien foutre !
Faut s’y préparer longtemps à l’avance !
Vous faites tous les malins (surtout Bobby qui est aussi crédible en connaisseur du foot Sud Am que ne l’était Fred en connaisseur de foot italien), on va vous sortir une vieille équipe Kazakhe et là on verra les vrais 😀
Oh ! J’ai été un peu aidé.
D’accord, mais où sont :
– le bateau suédois
– une photo du match Borussia Monchengladbach – Boca de la finale intercontinentale 1977, que Boca a ventillé façon puzzle, alors qu’un lutin danois venait de recevoir un balllon d’or quelques mois avant ?
– une photo d’El Loco et d’El Pibe ensemble ?
– et surtout une photo du traître d’Independiente, Claudio Marangoni ?
Un fan des Diablos Rojos?
La famille d’un ami supporte Independiente et n’a jamais pardonné à Marangoni son transfert à Boca.
Moi, c’est plutôt I Lioni di Furiani d’une certaine époque.
Bastia donc. J’aime bien le Sporting. Tu vas pouvoir échanger sur le foot corse avec l’ami Aiaccinu qui passe régulièrement.
J’arrive aussi trop tard mais j’ai tout de suite reconnu Boca 2000. Cette équipe au collectif unique est la référence absolue de tous mes amis argentins fans de Boca (et pourtant Boca en a eu des belles). J’ai reconnu Córdoba, Riquelme, Samuel, Scheletto et Palermo.
@Khia oui suis entièrement d’accord avec toi : après cette finale de rêve et surtout le parcours exceptionnel de Boca , les équipe sud-am ont décliné. Pourquoi? Est ce parce qu’à chaque fois qu’une pépite éclatait elle partait trop tôt en Europe? Est ce la crise financière en amsud qui exilait les plus talentueux? (entraîneurs y compris) est ce le niveau général sur le continent qui à baissé par manque de compétitivité entre les clubs?
On peut dire la même chose en Amérique du Sud où il y a le Brésil devant et très loin le reste, je parle des compétitions de clubs. Il suffit de regarder le palmarès des dernières Libertadores.
Au Brésil il y a beaucoup plus d’argent (riches investisseurs à Palmeiras, Flamengo, Botafogo, Fluminense, je crois) tandis qu’ailleurs en AmSud, en particulier en Argentine, c’est la cata.
Nana et Bison. Oui, c’est un mélange de tous les points que vous soulevez. Difficile d’avoir de la continuité sur ce continent. La réussite récente du Flamengo, 2 titres et une finale, a montré l’intérêt d’avoir un groupe qui se connaît bien. Gabigol, Bruno Henrique, Everton Ribeiro, de Arrascaeta, Diego Alves, Filipe Luis, David Luiz ont évolué ensemble pendant plusieurs saisons et on a vu le resultat.