21 novembre 2024
Europe / Moteur... Action

Moteur… Action !

goozigoozepar goozigooze

Le 8 août 1998. Bordeaux. Stade Lescure.

Première journée de championnat de D1 saison 98-99.

Moteur…

Le PSG sort d’une saison 97-98 mitigée, le doublé Coupe de France et Coupe de la Ligue ne fait pas tout à fait oublier la piteuse huitième place en championnat. L’effectif abrite pourtant, des noms ronflants et des joueurs inoubliables du jeune club parisien. On y retrouve pêle-mêle Rai la star, Roche, Fournier, Le Guen mais aussi N’Gotty, Simone et Loko. Malgré tout l’équipe est à bout de souffle.

Ainsi le nouveau président Charles Biétry veut tenter de relancer la machine, et de faire perdurer les belles heures européennes du club pour connaître, comme son prédécesseur Michel Denisot, la gloire à la tête du PSG. Pour cela il tente un coup, un transfert mirobolant : 100 millions de francs pour la star des Super Eagles, Augustine Azuka Okocha ou « Jay Jay » Okocha. Transfert record en Division 1, joueur ultra spectaculaire, tous les ingrédients sont là pour enflammer les suiveurs de la D1 et les supporters du PSG en particulier.

Action !

76e minute au Stade Lescure.

Le PSG est déjà mené deux buts à zéro par l’équipe girondine, Laslandes et Wiltord ayant marqué coup sur coup aux 56e et 58e minutes. Alain Giresse, alors entraîneur du PSG, décide donc de faire sortir Yann Lachuer pour faire rentrer Okocha. A peine sur la pelouse, « Jay Jay » va vite prendre ses marques.

Il reçoit un ballon anodin dans le camp girondin et fait mine de regarder au loin comme s’il allait tenter une transversale dont il a le secret, mais se ravise. Il revient dans l’axe presque nonchalamment et accélère, chaloupe devant Ali Benarbia puis crochète Sylvain Wiltord venu en soutien. Une dernière touche de balle à la sortie du crochet pour la placer sur son pied droit à 25 mètres et vient la frappe. Pure, limpide, sèche qui va se loger dans la lucarne d’un Ramé qui ne fait qu’accompagner d’un regard résigné le ballon qui s’insère dans sa lucarne droite, comme aimanté.

Un but fantastique qui n’est pas sans rappeler celui d’un autre artiste du ballon rond pour son premier match avec le Barça (et qui partage le point commun avec Okocha d’avoir jouer à Paris) : Ronaldinho.

Coupez !

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42 réflexions sur « Moteur… Action ! »

    1. Tout à fait ahah intermittent.
      Il nous rendait dingue quand il jouait 8 et qu’il n’essayait même pas de sauter pour avoir une tête… Mais je l’adorais.
      Son but contre Metz…

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  3. Okocha à l’Eintracht avec Toni Yeboah et Uwe Bein, c’était sympa à voir. Et à lire surtout parce que l’on voyait pas grand chose de la Bundesliga non plus! Parti au Fener par la suite avec son compatriote Uche Okechukwu, le partenaire de Keshi et de Taribo par la suite en défense centrale.
    Et sinon, le Nigeria que j’aimais beaucoup, m’avait bien déçu en direct au mondial 98.
    On attendait qu’il batte le Paraguay pour que l’Espagne passe au secon tour. Si l’Espagne a éclaté la Bulgarie à Lens, le Nigeria n’a pas vu la jour au Stadium. Avec un magnifique but du petit Benitez de l’Espanyol.

    Trop surs d’eux, à mon humble avis, ils prendront une raclée face aux Danois des frères Laudrup au tour suivant.

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    1. Okocha, découvert pour ma part lors du mondial 98, notamment lors du superbe Nigéria-Espagne. Contre le Paraguay, ils se font bouffer dès la première minute de jeu en prenant un but d’Ayala, révélant leur manque de concentration à l’entame des matchs : l’Espagne avait tapé la barre dans les 30 premières secondes de jeu et Moller marque le 1er but danois dès la 3ème minute…

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  5. Bravo Goozy ! Okocha, je l’ai vu au Parc en 98 pour Nigeria – Bulgarie et quand je repense à lui, je me dis que l’expression « dribble chaloupé » a été créée pour lui. Il avait une manière de se déhancher qui donnait une impression de roulis.
    PS : Le premier Moteur… Action faisait du PSG une victime, il te fallait rétablir l’équilibre, Gooz 😉

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    1. Non mais cette rubrique ne parle que du PSG… 4 articles, 3 à propos de matchs du PSG, 2 à propos de matchs de Bordeaux ! A quand la mise en vedette d’une action de l’ASNL ?

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  6. Le nombre d’actions où je vis ce phénomène éliminer 3, 4 adversaires.. se retrouver en position de tir ou avec possibilité de décalage pour un équipier démarqué.. au lieu de quoi, nonchalamment : il s’arrêtait net et remettait la balle à un équipier 20 mètres derrière lui..

    Je n’aime pas les entraîneurs-sécateurs, utilitaristes.. et donc j’aime l’idée que, dans leurs pires cauchemars, ils soient contraints par leur président d’aligner chaque nuit des Jay-Jay Okocha!

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      1. C’est mort

        J’ai vu jouer Brandão mec
        Y’a plus de retour en arrière possible
        L’ohemeuh dans les veines

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    2. Mon Dieu ! non, pas le PSG…
      S’il faut absolument choisir entre les deux, et à condition d’être neutre, c’est pour l’OM qu’il faut opter.
      Cela m’arrache véritablement la gueule de l’écrire, mais c’est indubitablement le plus grand club français.
      Une présence au plus haut niveau depuis les années 1920, des trophées à chaque époque… Aucun doute !

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      2. Je crois aussi qu’il n’y a pas vraiment de doutes à avoir sur la question..qu’à dire vrai je n’ai pas vue être posée?? 🙂

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      3. Mais ce serait bien de mettre des buts en finales européennes. Parce que mise à part celui de Boli, à l’issue d’un corner honteux!, c’est pas brillant…Meme aux penos!

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      4. On parlait d amour bobby.
        Mais je ne vais pas tomber dans ton piege à clics…

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      5. Mais, parce qu’il faut bien poser la question, quel est le plus grand club de la seule période qui vaille tant soit peu le jus, j’ai nommé l’entre-deux-guerres ?
        Années 1920 : j’hésite entre le FC Sète, le Red Star et l’OM.
        Années 1930 : j’hésite entre le Racing, le FC Sochaux et le FC Sète.
        Quel club revient à chaque décennie ? Vous l’avez, vous l’avez… Le FC Sète, oui !

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      8. Tiens ! je pourrais faire un Moteur… Action ! sur ce but de Boli.
        Je m’en souviens comme si c’était hier, et la situation était assez cocasse (pour mon jeune âge : 9 piges).

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  8. On comprend rien à cette espace commentaire
    On sait pas qui répond à qui
    On peut pas non plus répondre à tout le monde

    Un joyeux bordel qu’on se le dise

    Voilà c’est dit on n’en parle plus

    Et J’aimerais bien savoir quel est l’enculeyyyy De maudit modérateur qui a interdit l’utilisation de« pâté en croûte » comme pseudo !?

    Voilà ça aussi c’est dit et on en reparlera !!!

    #Rendezmoimonidentité

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    1. Et keskon connaît du Moyen Age, de l’Antiquité grecque et des empires aztèque et inca ?
      Y a de la documentation. Pas besoin de témoins. Pas besoin de vos saloperies de vidéos.
      Suffit de décortiquer tout ce qui passe sous la main et d’appliquer un filtre critique (on ne va pas prendre au pied de la lettre un article de L’Auto… Non mais !).
      Donc, oui, je proclame que je connais assez bien les années d’entre-deux-guerres du football français.
      Et je peux affirmer, en toute impartialité (là, non, faut pas déconner, je suis un amoureux transi de ce club et de son histoire), que le FC de Sète fut le plus grand club français de cette période.

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      1. N’importe quoi

        Le mec jouait 6 tout le monde le sait
        Un bagarreur de première
        Bien tenté quand même mais faut revoir tes classiques

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    1. D’ailleurs ce bon Jay Jay laisse son empreinte dans l histoire du foot grâce à son blaze et c’est tout.

      Joueur médiocre à la technique aussi approximative que mon orthographe.

      Une sombre merde en somme.

      Après j’aime bien le principe du papier.
      Bisous je vous aime.

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      1. Mécréant, les transversales effet rétro de jay jay sont dans la légende de ce sport.
        Mais va, je ne te hais point, ils sont des hommes que la grâce ne touche pas, que la beauté n’émeut pas, et saches que pour quitter ces obscurités, tu n’as qu’à regarder.

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