Il a neigé sur Yesterday

Une poignée de photos, puis quelques lignes de commentaires… Nous vous proposons de la sorte de replonger dans l’Histoire du football, et de redécouvrir les liens qu’il aura nourris avec l’évolution de nos sociétés.

Aujourd’hui : une histoire de neiges… qu’on eût souhaitées éternelles.

A l’heure même où le corps expéditionnaire britannique se retranchait pour quatre ans, fin octobre 1914, dans la mort et dans la boue du Nord de la France et de l’Ouest de la Belgique, l’Anglo-irlandais Shackleton quittait Buenos Aires pour la Géorgie du Sud, d’où l’attendaient six semaines de navigation à travers les glaces avant de pouvoir entreprendre, enfin, l’illusoire traversée par son pôle du continent antarctique. Dès le 16 janvier 1915 toutefois, son navire de l’Endurance serait pris par les glaces, qui fatalement refermeraient leurs mâchoires sur lui. Aussi, pour lutter contre l’ennui et entre deux chasses au phoque, les membres de l’équipage descendraient-ils régulièrement sur la banquise pour jouer au football, tandis qu’ils dérivaient peu à peu d’un millier de kilomètres vers le Nord-ouest…
Bien après que l’Endurance eut fini par sombrer, le 21 novembre 1915, et profitant que la glace se brisa enfin, Shackleton et son équipage mirent leurs chaloupes à la mer et parvinrent sur l’île Elephant le 18 avril 1916. Une semaine plus tard, il rembarquait déjà avec cinq de ses hommes à bord d’un canot renforcé à la hâte pour affronter les pires eaux du globe, qui après 1300 kilomètres de pagayage désespéré les ramena jusqu’en Géorgie du Sud, dont ils parvinrent à escalader les montagnes en à peine 36 heures avec la seule corde disponible. Le 20 mai 1916, enfin : ils atteignaient un village de chasseurs de baleines… Trois mois plus tard, et après quatre premières tentatives avortées, Shackleton parvenait enfin à récupérer le reste de son équipage, tous sains et saufs bien qu’il ne leur restât plus que deux jours de vivres.
Une question demeure : qu’advint-il de ce ballon que s’étaient disputé les hommes de Shackleton ? Et qu’advint-il du ballon de cette photo, prise 13 000 kilomètres plus au nord ? Car mettons d’emblée tout le monde d’accord : la neige, ce n’est pas que pour ces étranges créatures du froid – Irlandais, vagabonds des glaces et pingouins. Ainsi que l’illustre cette scène du football… italien, capturée en 1920…
…ou ainsi que l’illustre, cette fois, le légendaire gardien espagnol Ricardo Zamora, se réchauffant vaille que vaille avant le début d’une rencontre sur la pelouse de l’Espanyol, en 1923… parmi les panneaux de publicité déjà omniprésents, et qu’on eût sans doute gagné, comme l’Endurance, à transformer aussi en petit bois.
Pendant ce temps, dans le Noooooooooord, en janvier 1926 : les lignes ont été déneigées, Arsenal et United vont pouvoir en découdre, l’arbitre lance sa pièce…et il ne reste désormais plus qu’à la retrouver.
Stuttgarter neues Tagblatt, 14/10/1937 : pour la première fois dans l’Histoire du football, à Everton, un club de football adopte un système de chauffage de la pelouse – en l’espèce électrique. Après des débuts timides, ce type d’équipements se généralisera de manière exponentielle, à mesure de l’expansion du foot-spectacle et du foot-business… de sorte de pouvoir jouer quoi qu’il advienne, en tout lieu et en toute saison.
La guerre, cependant, mettra pour l’heure un terme à ces projets. Pas cependant à la part d’enfance enfouie sous le casque et le barda de ces soldats anglais qui, sur le front français, tuent le temps à défaut d’autre chose, en cet interminable hiver 1939-1940.
Pas plus que la guerre ne ferait du football, les conditions hivernales ne réprimèrent jamais les artistes dignes de ce nom… Ainsi, par exemple, le 10 février 1952, quand sur la neige et à l’occasion d’un derby anversois disputé devant quelque 50 000 spectateurs, tous frigorifiés mais bien vite éblouis, la star du Beerschot Rik Coppens inscrivit rien moins que le (probable) plus beau but de l’histoire de la compétition belge, d’un coup du scorpion plongeant en pleine lucarne!
La neige, à dire vrai, fut toujours moins l’ennemie que la complice des artistes. Et pourtant il arriva vraiment qu’elle exagère, comme ici en 1963 : année dudit « Big Freeze » et de la subséquente mise entre parenthèses, quelque trois mois durant, de plupart des championnats européens sis au-delà du 50ème parallèle… Ainsi en alla-t-il donc de St. Andrew’s, antre de Birmingham City qui recourut en pure perte à un tracteur à neige danois, ou de Blackpool qui s’en remettait à des lance-flammes ! Ainsi en alla-t-il de Leicester, qui couvrit son gazon sous une tente à air chaud! Et même de Wrexham qui, non moins vainement, fit répandre quelque 80 tonnes de sable sur ce qui lui restait de pelouse… En cet hiver 1963 de tous les records, un club au moins trouverait à tourner les éléments en sa faveur : l’ambitieux Sporting Anderlecht qui, fraîchement qualifié face au Real, trébucherait toutefois face aux sans-grades de Dundee, le 13 mars 1963…et se retrancherait aussitôt derrière ce plein trimestre de chômage forcé pour faire oublier cette honteuse déconvenue, survenue face à des Ecossais…qui pas plus qu’eux n’avaient joué le moindre match depuis le mois de novembre 1962…
Personnification première du technocratisme footballistique, qui non moins que ces dirigeants bruxellois abhorrait l’imprévu et l’échec, et qui entendait par conséquent que soit contrôlé et maximisé le moindre paramètre du jeu, c’est donc bon gré mal gré qu’Helenio Herrera s’accommodait encore de ce type de circonstances, le temps du moins que la nature restât supérieure au (mauvais?) génie humain..
D’ici-là : il faudrait cependant mettre encore et encore la main à la pâte… tel le toujours exemplaire Bill Shankly apportant sa contribution au déneigement vaille que vaille d’Anfield, le 28 décembre 1964, dans la perspective d’un match contre les givrés de Sunderland.
Mais retrouvons Highbury, en ce mois de décembre 1967… L’un de ces jours où c’est jusqu’au volontarisme de Shankly qui eût été sans effet, illusoire… Car voyez ces joueurs de Sheffield, résignés déjà autour de l’arbitre, et attendant qu’il rende officiellement son verdict : continuera…ou continuera pas? Il sifflera finalement la prévisible fin des débats, à la 47ème minute de jeu, actant pour cette fois la défaite par forfait du foot-business face aux éléments.
Ce jour-ci, fort heureusement, n’était pas un jour de match : nous sommes en Belgique, le 16 février 1969, et l’une des tribunes du stade de Tilleur vient de s’effondrer sous le poids de la neige, en dépit de tout le feu craché au ciel par les usines du quartier…
…tandis qu’à San Siro le match a déjà débuté, et que l’inquiétude tient plutôt à savoir comment s’extirper de son abri.
Retour en Belgique, à l’aube des années 1970, mais cette fois dans un stade pour l’essentiel dépourvu de toitures, ça valait peut-être mieux…mais pas dépourvu de grimages, à juger de ces yeux cernés de noir pour affronter la réverbération du soleil sur la neige. Parmi ces douze acteurs du football belge, en l’espèce affiliés au club bruxellois du Racing White, d’aucuns reconnaîtront peut-être le grand entraîneur Robert Waseige, l’ailier manchot François Tuyaerts, le fugace international Fons Haagdoren ou encore, tout en bas à droite, l’excellent meneur de jeu Jean Dockx, qui bientôt deviendrait la pointe basse d’une très offensive ligne médiane anderlechtoise.
Mars 1971, sur la pelouse de l’ADO La Haye : le « Beckenbauer néerlandais » Aad Mansveld fait étalage de ses dispositions sur la neige à sa compagne Mariska Veres, vedette de la pop néerlandaise que recouvre une peau de bête aux formes évocatrices. Auteure en 1969 du tube mondial « Venus », que reprendraient un jour les Bananarama, elle mourrait prématurément d’un cancer sans avoir « jamais rien bu ni fumé…ni même consommé de drogue! » – au contraire donc de son ancien compagnon, dont le décès plus prématuré encore, à 45 ans d’un cancer du poumon, n’éteindrait jamais vraiment les rumeurs de dopage colportées sur sa personne.
Quelque 500 kilomètres plus au Sud, et près de cinq ans plus tard, c’est sous le maillot nancéen que ce jeune homme, fraîchement entré dans la vingtaine, aiguise si besoin un équilibre et une maîtrise technique déjà fortement susceptibles de le mener aux sommets…mais puisse ce demi-dieu ne trop préjuger de ses forces, car plus l’on monte, et plus dure sera la chute…
D’ici là, les saisons s’écoulent, qui de pays en pays déroulent leurs manteaux blancs – comme en ce stade et cette année, indéterminés. Mais dont les spectateurs sont certifiés : des vrais !
Moins sensibles à l’abnégation de ces supporters qu’à la différenciation de leur produit, les dirigeants du PSV décideraient cependant, dès la fin des années 1960 et à fins de redynamisation d’un club qu’ils avaient délaissé toute la décennie durant, que l’heure était venue de bouleverser les bonnes vieilles habitudes des publics européens… Aussi, après huit ans de travaux, les supporters du PSV poseraient-ils désormais leurs fesses parmi les sièges chauffés de la nouvelle tribune principale du Philipsstadion, inaugurée en 1977 – c’est-à-dire au beau milieu de deux chocs pétroliers, et près d’un demi-siècle avant que ne survînt une autre orgie écologique, au Qatar… Dans le cas d’espèce toutefois, il n’était pas question de jaser : c’était au nom du progrès… en l’espèce, celui des très occidentales Lumières de la maison-mère Philips.
Les spectateurs du PSV seraient-ils pour autant plus heureux? Et surtout : plus heureux que ceux de ce dantesque Sochaux-Francfort, du 10 décembre 1980? C’est en tout cas sur cette pelouse de Bonal, où l’on voit Genghini témoigner de ses talents d’équilibriste, que Patrick Revelli et les siens écriraient l’une des plus belles pages du football français des clubs.
Certes Sochaux, comme d’ailleurs toute la Franche-Comté, peut-il être rude le mois de décembre venu… Mais en fait d’hiver continental, jugez plutôt de ce stade et de ce ciel cafardeux, où se réchauffent comme ils peuvent ces près de 800 tifosis, parvenus au bout du bout d’un périple surréaliste dans la Roumanie de Ceaucescu… En ce jour combien typique des Coupes d’Europe d’antan, ce sont au total 15 000 spectateurs qui ont pris place dans ce stade ne pouvant en contenir que 10 000, pour assister à une rencontre qui manqua de bien peu de se disputer par -15°C… Aussi le coup d’envoi serait-il prestement donné par l’arbitre belge Alexis Ponnet, lequel, quoi que suggérât sa toison, était loin d’être immaculé… Il s’ensuivrait une danse confuse, et quelquefois absurde, entre ce club que venait de quitter Gheorghe Hagi, et cet autre où évoluaient encore Thomas Berthold et Preben Elkjaer-Larsen… Alors, découvrez donc ce Sportul Bucarest – Hellas Verona, disputé le 9 décembre 1987 avec un ballon blanc sur une pelouse…blanche, comme une image d’Epinal de ce qu’était alors tout déplacement en Roumanie : un traquenard non moins qu’une tragicomédie.
Il y avait bien pire néanmoins! Onze mois plus tôt en effet, le pourtant très combattif Dalglish avait vociféré bien haut tout le mal qu’il pensait de cette pelouse, où l’on reconnaît les Scousers Ronnie Whelan, Jan Mölby et Ian Rush, ainsi que les joueurs de Luton Ricky Hill, Mal Donaghty et Mick Harford. Mais si le cultissime joueur-entraîneur écossais avait été si mécontent, ce n’était pas du tout à cause du froid, ni du vent ni de la neige… mais exclusivement car ses joueurs avaient dû évoluer sur le gazon synthétique de Kenilworth Road – en l’espèce le deuxième du pays, daté de 1985. Et infiniment plus dangereux que la poudreuse pour les muscles et les articulations.
Les pelouses synthétiques, cependant, ne feraient pas long feu : une troisième sortait à peine de terre, chez les Britons, que leurs voisins bataves entreprenaient déjà de régler son compte au dieu-hiver… Une fois pour toutes! Et, assez prévisiblement, dans la cité marchande d’Amsterdam : héritière vingt ans plus tôt des scientismes fous initiés à l’Inter, et terre d’érection désormais de cette Ajax Arena qui, tel le coffrage monumental de Tchernobyl, entendrait radicalement couper le biotope intérieur, toujours plus vicié, de la virginale vitalité du monde extérieur. Inauguré avec pompe en 1996, ce jalon majeur du foot-business et de son ingénérie supra-climatique donnerait le ton des arènes européennes anesthésiées de tout le XXIe siècle naissant.
En novembre 2015 et assez contre-intuitivement, très exactement un siècle après qu’y eut sombré l’héroïque Endurance de l’extraordinaire Ernest Shackleton, c’est pourtant à une figure marchande qu’il est de bon ton de brocarder que reviendrait de renouer avec la pratique hivernale du football, non loin de ce bateau ivre où Shackleton et ses hommes avaient entrepris de tuer le temps et le désespoir, d’entre Barrière de Larsen et Terre de Palmer, et les îles Shetland et celles de Géorgie du Sud.
En 2019 enfin, 104 ans jour pour jour après leurs prédécesseurs de l’expédition Shackleton, et faute d’avoir pu retrouver encore l’épave de l’Endurance, l’équipage et les scientifiques de l’expédition dite « de la Mer de Weddell » disputeraient à leur tour une rencontre de football, sur la banquise. Là même où tout avait commencé…
… il y a très exactement 110 ans, parmi la virginité de la neige nue, et les journées éternelles de l’hiver hypernotéen.

14 réflexions sur « Il a neigé sur Yesterday »

  1. Un bel article qui montre que c’est parfois mieux de laisser les photos parler d’elles-mêmes. Et qui me rappelle que je voulais lire un bouquin sur l’expédition de Shackelton mais je ne l’ai pas encore trouvé.

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    1. Shackleton il y a plusieurs voyages..et plusieurs matchs de football sur la banquise aussi..et, surtout : il y en eut même avant (!) qu’il ne menât ses propres expéditions!

      L’Histoire des explorations polaires regorge d’épisodes hors-normes..mais y eut-il plus extraordinaire que cet Endurance pris dans les glaces, et que ces hivernages et voyages subséquents? J’ai de longue date le goût de ce type d’aventures/lectures, Kessel, l’hallucinant Richard Burton..mais dans le cas d’espèce, ben??

      Une fois dans ma vie j’ai éprouvé un truc s’apparentant un chouia à cela, dix jours de traîneau en Laponie, -30°C..mais accompagné par un expert du coin, équipé, points de chute en dur……….et sinon les paysages je n’en retiens que de la souffrance, plus jamais, lol.. ==> Comment ne pas être sans voix devant telles folies?

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  2. > MESSAGE POUR XL < Salut on a bien reçu tes textes, on te remercie. Ils vont paraître dans les prochaines semaines. On te donnera les dates si tu le souhaites bien sûr. Tu parlais de problèmes de connexions? Si t as besoin d aide n hésite pas à envoyer ton mail via "soumettre un article", on essaiera de t aider. Plusieurs personnes s'en plaignent effectivement. Il va falloir remédier à ça... En tout vas merci pour tout! Goozy

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  3. Superbe cheminement sur un siècle.
    Herrera, dans le brouillard… on devine qu’il se trouve sur la pelouse de l’Arena Civica de Milan, stade ô combien historique puisqu’il naît de la volonté de Napoléon.

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    1. Oui, l’arena civica.. J’en ai fait le tour il y a bien 25 ans, une surprise totale, déjà je ne m’attendais pas à tomber sur un parc en traversant le château des Sforza..mais alors, de fil en aiguille : sur ce stade?? Avec les toits de la cathédrale, c’est mon meilleur souvenir de Milan.

      Il y a une ironie de l’Histoire à ces arènes et à leurs toits, voire au chauffage de ces installations dans certaines extrémités (moi dont le premier match au stade fut sous la neige : je fus sur le cul quand mon père m’emmena dans cette tribune à Eindhoven, c’était incroyable pour les 80’s) : fût-ce de manière infinitésimale, l’ingénérie énergivore qui les a permis n’a probablement pas été étrangère à la raréfaction de la neige sous bien des latitudes désormais, tiens : je serais curieux de savoir combien de jours/an la neige tombe désormais sur Amsterdam (NB : ça ne devait déjà pas être extravagant avant..)??

      Certes : cette arena sert aussi à des concerts, et je sais que l’hiver peut être rude en Castille..mais foutre un toit rétractable sur l’Estadio Bernabeu (premier exemple qui me vienne à l’esprit)?? Lol…………. Tous ces gadgets à x dizaines de millions de USD sont tellement vains, de l’attrape-gogos..

      Mais surtout, en triant/sélectionnant mes photos pour définir un continuum, aboutir à un récit, un détail m’a marqué : aux Etats-Unis, de grandes institutions s’accommodent encore volontiers de conditions hivernales!!, allez-y voir ce que se mangent les Packers en foot US (et c’est pas des précipitations de nymphette, là-bas!), ou en soccer ledit « snow classico », y a des images de soccer à Salt Lake City aussi.. on a l’embarras du choix…………….et ça fait le..spectacle!!!

      Bref : la neige au football me manque..

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      1. 100% d’accord. Je ne m’intéresse pas au foot américain mais quand je tombe sur ces matchs en plein air, par -10 ou -15 degrés, à Green Bay ou Buffalo, avec les mecs en manches courtes, tout fumant, ben je regarde !

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    1. Calme dans la barraque!, comme qui disait l’autre!

      J’adore la toute première photo, celle avec cette lumière bleue ; elle sent si bon l’aventure, c’est ample..

      J’ai un ami d’enfance dont c’est le quotidien, médecin de bord sur tous les océans, des repérages à fins de croisières pour ultra-friqués, il m’envoie régulièrement des photos le salaud……. ==> La sphère professionnelle à laquelle il appartient ne fera pas avancer le schmilblick..mais lui n’a pas de gosses, en mode après moi le déluge, c’est son droit le plus strict.. En attendant : sa vie est un périple permanent, toujours fourré là où personne parfois (il a déjà fait l’Antarctique plusieurs fois) n’est jamais allé.. Folie dans tous les sens du terme.

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      1. Je voulais mettre des guillemets à « photo »..puis j’ai oublié, sorry..car est-ce vraiment une photo?

        Les deux autres liées à Shackleton sont par contre incontestables – et il y en a beaucoup d’autres..

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  4. J’ai maté des extraits de Sportul-Hellas, ça ressemble pas à grand chose en effet, hormis l’engagement qu’y mettent les deux équipes.
    La fin de l’âge d’or du Verona de Bagnoli. Tiens, 2025, c’est le 40e anniversaire du scudetto, ça méritera qu’on en en reparle à l’occasion d’un article.

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    1. Il n’y a là rien qui ressemble à quoi que ce soit! 🙂 Et puis ce ballon blanc sur du blanc, lol..

      Mais le foot, précisément : c’est ça aussi!!! On l’oublie mais, sa dimension fondamentale : c’est d’être un affrontement ritualisé se disputant sur tous les terrains et par tous les temps!!!

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