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Verano82Modérateur
Vu hier soir, je confirme ce qui a été écrit ici à propos d’As Bestas. Angoissant juste ce qu’il faut, des plans superbes et des acteurs formidables. Luis Zahera est grandiose, dès la 1ere scène, il écrase tout (son frère ressemble un peu à l’arbitre Lahoz). Et comment ne pas éprouver de la compréhension, à défaut de sympathie, pour ces paysans, frustrés bien plus que frustes, surtout Xan.
PS : quel enfer ces éoliennes, j’ai toujours la frousse qu’il y en ait un jour près de chez moi.- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 8 mois par bobbyschanno.
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Si Verano ou Guybrush passent dans le secteur : l’entraîneur de Strasbourg en 1938-1940 est l’Autrichien Karl (Charles) Rumbold. Apparemment, il connaît une sélection en équipe d’Autriche avant la Grande Guerre. Puis, en tant qu’entraîneur, il officie en Italie pendant toutes les années 20 et 30 (notamment au Genoa) jusqu’en 1938. L’année de son départ d’Italie semble indiquer qu’il était juif. Est-ce que vous en savez plus sur lui ?
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Je ne sais rien le concernant hormis le fait qu’il est associé au déclin du Genoa.Verano82ModérateurJe réagissais à la question de Bobby après le post de triple g.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par Verano82.
Verano82ModérateurÇa ressemble à la critique de Tàr. Mais on trouvera des personnes pour trouver que c’est une caricature du wokisme, par lequel passe notre salut eh eh, et d’autres pour y voir les excès d’un monde, heureusement vaincu, alléluia ! Pour ma part, la défaite de Cate m’a profondément désespéré.
Verano82ModérateurQui a vu Tár ? Cate Blanchett, exceptionnelle. Film remarquable, de mon point de vue, nous guidant aux côtés d’une héroïne sur le chemin d’une défaite complète. Le hic : une sensation de désespoir en sortant de la salle.
Verano82ModérateurAh, enfin, un gars capable de tenir tête à Alex/Bota 😉
Verano82ModérateurC’est un film olé olé tout en douceur ?
Verano82ModérateurEh beh, il y en a du monde qui passe par ici désormais… welcome
Verano82ModérateurTiens, on va voir si je me fourvoie ou non, je donne mon avis sur une question de Bota : selon moi, en 1934, la Celeste aurait encore été compétitive. D’abord parce qu’une part significative de l’effectif de 1930 est encore en activité en Uruguay (certes Petrone ou le jeune Porta par exemple sont en Italie mais Ballestrero, Nasazzi, El Gallego Fernández ou Castro sont toujours là). Ensuite parce que lors de la Copa 1935, l’Uruguay surclasse l’Albi en une mi-temps alors qu’il y a des adversaires tels que Masantonio, Lauri, Minella où l’immense Sastre.
L’Europe a progressé, l’Italie bénéfice de ses Oriundi qui contribuent à réduire l’écart avec l’Amsud, mais je pense que l’Uruguay aurait eu sa chance.
Après, c’est plus problématique. L’exil vers l’Europe devient un problème (cf. les Uruguayens de Bologne, notamment), Peñarol ou le Nacional peinent face aux grands clubs Argentins (Copa Aldao ou tournoi nocturne rioplatense). En 1938, je pense que cela aurait été beaucoup plus difficile avec la fin d’une génération et celle du quinquenio de oro du Nacional pas encore à maturité.
Verano82ModérateurAh je viens de lire sous un article qu’il veut surtout évoquer l’origine des 4 étoiles sur le maillot uruguayen. Bon, si c’est le thème, je n’ai pas de questions, je me ferai simplement le plaisir de lire l’explication ou les compléments d’explication à ceux déjà fournis par Bobby.
Verano82ModérateurBobby, trois questions sur l’avant CM 1950. A peu près au même moment que leurs confrères argentins, les footballeurs uruguayens font grève, de fin 1948 à mi-1949 environ. Mais contrairement aux Argentins, peu s’exilent et la Celeste peut compter sur ses meilleurs éléments. Il y a bien quelques défections vers la Colombie et Cúcuta, notamment Ramón Villaverde qui pouvait prétendre être dans la sélection pour le Brésil, mais c’est marginal au contraire de la fuite des talents argentins. Pourquoi cette spécificité sans laquelle la Celeste n’aurait pu triompher en 1950 ?
L’UAF envoie une sélection de jeunes espoirs et de « jaunes » à la Copa América 1949 qui se déroule pendant la grève. Matias González fait partie des « jaunes » et est manifestement très critiqué par la majorité des joueurs. Sauf erreur, il est le seul de cette sélection 1949 présent pour la CM 1950. Comment est-il parvenu à retourner l’opinion en sa faveur ?
Une question sur l’ailier Vidal : Bibiano Zapiraín est absent de la CM 1950 pour une (prétendue ?) fâcherie avec le sélectionneur López. Si mes souvenirs sont bons, El Patrullero Vidal le remplace mais il y a une sombre histoire de passeport (il est Italo-argentin, famille d’Istrie d’origine espagnole ayant fui les Bourbons!!!). Bref, Vidal était-il sélectionnable avec l’Uruguay ou y-a-t il eu un tour de passe passe pour qu’il puisse jouer avec le maillot de la Celeste ?
Verano82ModérateurOui, le statut du Fogão est lié à son passé et aux cracks ayant fait la gloire du club. Mais je n’arrive pas à l’extraire de la liste des grands cariocas alors que l’Athletico ne m’évoque pas grand chose…
Verano82ModérateurÇa me laisse le temps, impeccable.
Verano82ModérateurBon, j’ouvre le forum. Une idée de texte à publier à l’occasion d’un Napoli – Juve : le duel de mai 1981, décisif pour l’attribution du scudetto, avec le regard d’Attila Sallustro, première vraie star des Partenopei dans les années 20-30, devenu le vieux directeur en charge du stadio San Paolo.
Bon, ça peut paraître obscur, mais je promets qu’il y a matière à écrire un texte sympa.Verano82Modérateur11 clubs brésiliens et parmi les géants, il manque toujours Fluminense… Parmi les 12 géants, ce sont les seuls dans ce cas avec Botafogo si je ne me trompe pas.
Verano82ModérateurFelipãô Scolari sera-t-il le plus vieux coach vainqueur de la Libertadores ?
Je crois (à vérifier) que le record est détenu par Bagnulo avec Peñarol dans les années 80. Jorge Jesus avec Flamengo doit également être parmi les plus vieux. -
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