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Parmi les joueurs juifs passés par la France, il y a aussi Kurt Platzek. Il y aurait eu aussi un Klein, équipier de Platzek à Brive. Et un Schindler à Clermont (peut-être Oskar, un ancien Hakoahner, et oui, c’est bien son prénom).
Pour l’instant, je ne trouve pas grand chose de nouveau. La page wiki indique que Donnenfeld a oeuvré comme agent de renseignement pour les Anglais en Normandie (mais ne donne pas de source).
Suis tombé sur un extrait d’un livre, « Die Legionäre ». Il cite Donnenfeld qui évoque Weiskopf et un autre joueur de l’Hakoah, Max Scheuer, mort à Auschwitz après être passé par Drancy. Selon Donnenfeld, Weiskopf avait un contact, un international helvète, qui avait déjà réussi à faire passer en Suisse Moritz (Moschkatz) Häusler. Scheuer devait prendre le même chemin, mais il a, semble t-il, voulu attendre quelqu’un (connu comme B.S) et a été arrêté.
Je vais chercher, mais je me demande si les informations en allemand sur le sujet ne viennent pas de sources francaises.
Je suppose qu’en enquêtant sur ces joueurs, tu as croisé la route de Oskar Reich et de sa terrible histoire.
PS: sans rapport, en fouillant dans les archives en ligne, j’étais tombé sur le récit par un joueur autrichien de ses aventures footballistiques aux USA. Mais Fraktur rimant souvent avec torture, je ne me suis guère attardé. Faudrait que je fasse un effort. Un jour.
Quel mauvais coup prépares-tu encore ? Un truc sur Stasbourg ? Y aura Fritz Kerr aussi ?
On notera que la seule pâtisserie digne de ce nom d’Espagne est une création autrichienne.
El entrenador Karl Rumbold y la confitería La Vienesa como templo cultural gijonés
Aussi connu en Espagne sous le nom de Carlos José Rumbold Bernhard. A entraîné également Salamanca. Je ne sais pas s’il était Juif. Rumbold est plutôt un patronyme anglo-saxon.
Si Verano ou Guybrush passent dans le secteur : l’entraîneur de Strasbourg en 1938-1940 est l’Autrichien Karl (Charles) Rumbold. Apparemment, il connaît une sélection en équipe d’Autriche avant la Grande Guerre. Puis, en tant qu’entraîneur, il officie en Italie pendant toutes les années 20 et 30 (notamment au Genoa) jusqu’en 1938. L’année de son départ d’Italie semble indiquer qu’il était juif. Est-ce que vous en savez plus sur lui ?
Cherche du côté de l’Espagne. Un indice: charlota.
Burt Bacharach 1928-2023. Belle longévité.
What’s new Pussycat?! ohohohoohohh.
Une de mes préférées de Burt, Make it easy on yourself. Popularisée par Jerry Butler ou encore les Walker Brothers, mais ma version favorite est celle en live de The Divine Comedy (avec Elvis Costello si ma mémoire est bonne).
Poubelle or not poubelle?
« Femmes demon » (c’est bien ce qui est écrit sur la jaquette) ou « She Demons » en english. Un film de 1958 signé Richard E. Cunha avec en guest star (sic), Irish McCalla, l’héroïne de « Sheena Queen of the Jungle ». Hmmm… des naufragés, une île mystérieuse, des nazis. Que demande le peuple?! Le masque dégueu sur la couv’ me dit bien quelque chose, mais ça sent l’arnaque.
« Blue Holocaust ». Joe d’Amato. Avec Cinzia Monreale. Au programme, du vaudou, de la taxidermie et de la… nécrophilie. Les Italiens ont toujours su nous prendre par les sentiments. Et en plus, les Goblin sont de la partie.
« The Devil Bat » de Jean Yarbrough (ou Yarborought au choix). 1940. La principale attraction – outre la chauve-souris craignos – est Bela Lugosi. Hm, Lugosi et chauve-souris, en voila de l’idée.
« The Red House ». De Delmer Daves. Avec Edward G. Robinson. Qu’est-ce que ça fait là? Passons.
« Qu’arrivera t-il après? ». Titre original: « I’ll never forget what’s’is name ». Orson Wells, Oliver Reed, Harry Andrews, Marianne Faithfull… Hm, autant que je me souvienne, faut avoir la full faith pour le voir en entier. Qu’est-ce qui a bien pu me berner? Ah oui, un film commis par Michael Winner, le réal des « Death Wish ».
Quel film ?
Asterix et Obelix, l’empire du milieu.
@411
« Hold on tight » est probablement la moins bonne chanson de l’album, la plus simpliste en tous cas, même si elle a bien marché. Sinon « Time » est un album indispensable, un des meilleurs jamais créé (et ce ne sont pas les Daft Punk qui me contrediront). Et pis, Jeff Lynne a un don incroyable pour construire un album.
L’intro de Time avec le Prologue, Ywilight et Yours truly
