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g-g-gParticipant
Bonjour les gars ! Je ne vois pas où je pourrais poser cette question ailleurs qu’ici où il y a de vrais experts du foot (notamment Rwano Breizh manifestement spécialiste de la BuLi). Je suis depuis longtemps étonnée par l’absence de respect des couleurs sur les maillots des clubs allemands…
Bonsoir Camille, et désolé du retard à la réponse. En ce qui concerne les clubs allemands, beaucoup ont plus de deux couleurs officielles. Le Bayern, par exemple, a non seulement le rouge qu’il a choisi, mais aussi le bleu et le blanc de l’État libre de Bavière. Il peut donc parsemer en toute légitimité son rouge d’un peu de bleu, comme en 2014, ou de beaucoup de blanc, comme en 2023. L’Eintracht Francfort a lui aussi trois couleurs officielles (noir, blanc, rouge) héritées de la fusion de plusieurs clubs entre 1899 et 1920. Le plus important d’entre eux, le Frankfurter FV, jouait en noir et blanc. C’est pour cela que les ultras de l’Eintracht utilisent ces couleurs pour leurs tifos. Ce ne sont donc pas des caprices, mais des retours aux traditions appréciés des fans. (Quoique parfois… Je me souviens d’un Kaiserslautern-Bayern des années 80 où les Bavarois ont débarqué au Betzenberg sous les couleurs du Brésil, histoire d’impressionner l’adversaire, et ça a marché !)
On vu en France des changements de maillot assez spectaculaires aussi. Puisque tu parles de l’OM, souviens-toi du maillot Europe de 2010-11… Et pour les fans du PSG, le maillot bleu et rouge de l’époque héroïque des années 70, dessiné par Daniel Hechter, a fait place au maillot « extérieur » blanc à bande latérale bleue et rouge sans explication pendant toutes les années 80 avant de reprendre sa place depuis les années 90.
Voilà voilà… Tu soulèves en tout cas un sujet fort intéressant. Si d’aventure l’envie t’en prenait, pourquoi pas un premier papier là-dessus ?
Il me semble aussi, au détour d’un accord de participe passé, que tu apportes une voix féminine bienvenue sur notre site. Puis-je diriger ton regard vers un des rares articles que nous avons publié sur le football féminin, l’épopée de l’éphémère équipe nationale de RDA ? (« Voir Potsdam et mourir »)
À bientôt et bon courage !
g-g-gParticipantIl y a erreur sur la photo « Tomaszewski, aimant à penalties » de Pologne-RFA 1974. La bonne est celle de mon message 4819 ci-dessus. Merci !
g-g-gParticipantC’est un dialogue extrait de « Le magnifique » de Philippe de Broca avec Belmondo avec Raymond Gérôme dans cette scène. Un des derniers très bons Bébel.
Le film a vieilli et ne serait plus faisable aujourd’hui pour un tas de raisons, mais les dialogues sont cultes (la BO de Claude Bolling aussi) :
– J’arrive de Mexico, mon général. Rodriguez est mort.
– Bigre ! Et dans quelles circonstances ?
– Il a été dévoré par un requin dans une cabine téléphonique.
g-g-gParticipantJe réagissais à la question de Bobby après le post de triple g.
Il s’agissait bien de Tàr (and feathers pour les mauvais esprits).
g-g-gParticipantLes médias US sont partagés : ceux de gauche portent le film aux nues, ceux de droite cassent du woke. J’en déduis que c’est à voir ou non selon affinités.
g-g-gParticipant« Nous avons trouvé un intreprète albanais, mais il ne parle que le roumain. Alors il nous a fallu trouver un Roumain, mais il ne parle que le russe. Le Russe, que le serbe. Le Serbe, que le tchèque. Heureusement moi, je parle tchèque. »
L’auteur aurait pu être Modrobily, mais ce n’est pas lui. D’où sort ce pope… euh, ce propos tiré d’une scène culte d’un film qui ne l’est pas moins ?
- Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 9 mois par bobbyschanno.
g-g-gParticipantÀ propos des MZ : quand j’ai passé mon permis en 1995, j’avais très envie d’une MuZ Skorpion qui me plaisait énormément avec son joli cadre tubulaire et son mono Rotax. Je n’ai pas osé… puis je suis parti aux US où l’offre est toute autre.
g-g-gParticipantJ’ai bien envie de faire un article sur l´épopée européenne du Sachsenring en C2 1975-76, avec contexte (BSG contre SC et FC privilégiés par le pouvoir central, etc.), match par match, et tout le toutim. Il est en P5 ou P6 dans la queue, il y a le temps de voir venir. Ceci dit, si tu as des sources…
g-g-gParticipantBazar, oui. Boxon, oui. Un bouzin est, si je ne m’abuse, un appareil fonctionnant au bois. Vu la sophistication du nouveau site de SF, peut-être l’appellation est-elle à propos après tout ? Ceci dit, étant arrivé sur SF après la baie des champs, je trouverais un rappel d’informations bien utile !
g-g-gParticipantLe nuage est la photo 7, pas la photo 2.
g-g-gParticipantet voilà !
g-g-gParticipantAvant la fiche du match :
https://www.fnp.de/eintracht-frankfurt/geschichte-einer-arena-frankfurter-waldstadion-wandel-zeit-10676644.html
(photo 29)
Légende : Quatre ans plus tard, à Francfort…g-g-gParticipantAvant le paragraphe “Vingt minutes de temps fort…” :
https://www.spiegel.de/fotostrecke/deutschland-schlaegt-polen-1974-in-der-wasserschlacht-fotostrecke-129715.html
(photo 2)
Légende : Quand un nuage allemand craque, il craqueg-g-gParticipantAvant le paragraphe “Les yeux rivés…” :
https://www.spiegel.de/geschichte/deutschland-polen-1974-a-947076.html#fotostrecke-25c526ae-0001-0002-0000-000000106943
(photo 5)
Légende : Dix centimètres à côtég-g-gParticipantAvant le paragraphe “On n’a pas repris…” :
https://www.dfb.de/news/detail/muellers-wichtigste-laenderspieltore-das-tor-in-der-wasserschlacht-221140/
(récupérer la photo du but dans la galerie)
Légende : Dieu pardonne, lui (à d.) pasg-g-gParticipantAvant le paragraphe “L’échec devrait avoir sonné les Allemands…” :
https://www.sueddeutsche.de/sport/dfb-elf-gegen-polen-in-frankfurt-ein-fussballplatz-wie-eine-seenplatte-1.2632045
(photo 5)
Légende : Tomaszewski, aimant à penaltiesg-g-gParticipantAvant le paragraphe “À la hâte…” :
https://www.spiegel.de/fotostrecke/deutschland-schlaegt-polen-1974-in-der-wasserschlacht-fotostrecke-129715.html
(photo 2)
Légende : Un pompier, c’est fait pour pomperg-g-gParticipantJe m’aperçois que je n’ai pas été assez précis quant aux photos à utiliser pour Pologne-RFA 1974. Les voici donc, un lien à la fois (apparemment, le message ne passe pas s’il contient deux liens) :
Photo de garde:
https://www.spiegel.de/fotostrecke/deutschland-schlaegt-polen-1974-in-der-wasserschlacht-fotostrecke-129715.html
(photo 6)
Légende : Puisque l’arbitre a dit que le terrain est jouable…g-g-gParticipantCorrection à faire SVP sur mon article à paraître le 12 février : il faut inverser l’ordre du trio d’attaque polonais qui devient Lato-Szarmach-Gadocha. Gadocha jouait traditionnellement à l’aile gauche mais on l’a vu à droite le jour de ce fameux match, d’où mon erreur. Merci d’avance !
g-g-gParticipantJe m’aperçois que j’ai omis de faire une présentation en règle, ce qui mérite mes excuses les plus plates et une réparation rapide.
Le Brésil était encore champion du monde, mais plus pour longtemps, lorsque je suis né. Parisien d’origine (nobody’s perfect), je suis installé dans la région de San Francisco depuis 25 ans après des études d’ingénieur et une série d’étapes qui sortent de notre propos. Mes souvenirs de foot commencent avec les Verts ; quand l’heure de choisir son camp est arrivée, ce n’est pas le PSG (encore sur le chemin de son premier trophée) qui l’a emporté, mais les Girondins de Claude Bez. L’histoire a pris fin avec le changement de culture au départ d’Aimé Jacquet. Aujourd’hui, ma sympathie (sans plus) va plutôt à Lyon qui aura essayé pendant vingt ans de constuire sur de bonnes bases, à la manière du Bayern, sans hélas y parvenir.
J’ai toujours aimé le football (ouest-)allemand, ses stades pleins, ses scores fleuves, son jeu rapide et ses patates colossales de 30 mètres. En 1983, j’ai découvert le Werder Brême, trouble-fête au jeu offensif de l’ère Rehhagel-Pezzey-Völler, et je ne les ai jamais quittés. J’ai aussi un faible pour le Lok Leipzig, en D4, en raison de son histoire mouvementée et de ses joutes mémorables avec « mes » Girondins des années 80. S’il n’en reste qu’un pour défendre la victoire de la RFA sur les Pays-Bas en 1974, je serai celui-là.
J’ai aussi toujours joué gardien. Voilà, à bientôt sur les commentaires !
g-g-gParticipantAprès avoir été alerté à temps d’un doublon en puissance sur Jürgen Croy, je soumets à la populace mon prochain sujet : le fameux Bordurie-France du 12 novembre 1955 (vous avez bien lu). Y a-t-il quelqu’un sur l’affaire ? En outre, ce sera une fiction (WTF P2F, en quelque sorte) plutôt qu’une uchronie. Comment le catégorier ?
g-g-gParticipantJ’ai aussi préparé une comparaison poste pour poste entre Croy et Maier (mon idole de l’époque…) que je t’enverrai quand j’aurai fini ma journée de travail (8 h 40 ici à San Francisco).
g-g-gParticipantBonjour ! Khidia m’a prévenu à temps que tu préparais un article sur Jürgen Croy. Si tu lis l’allemand, voici une interview du monstre dans « Bild » qui explique comment il a réussi à résister à la pression des autorités qui voulaient le voir dans un grand club, et aussi à celle de la Stasi qui voulait sa collaboration :
Pour le contexte, les usines Sachsenring où était (nominativement) employé Croy étaient le producteur de la fameuse Trabant. À un moment où la population commençait déjà à râler contre les délais de livraison, une grève aurait été du plus mauvais effet… surtout dans un contexte où l’insurrection du 17 juin 1953 et surtout le bain de sang de Novotcherkassk en 1962 (celui-là connu des seuls cadres du Parti, mais tout de même… voir à ce propos l’excellent film « Chers camarades ! ») étaient dans les mémoires.
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