Toutes mes réponses sur les forums
-
AuteurMessages
-
AlexandreModérateur
Y en a 2-3 que je trouve pas terribles, mais bon 🙂
Mais je relance!
L’on entend souvent parler de football rioplatense. Mais existait-il alors, au sein de cette sphère culturelle, quelque style propre au football uruguayen, voire montévidéen? Et, si oui : en quoi se distinguait-il de ce qui avait cours à Buenos Aires?
Les sacres uruguayens d’entre-deux-Guerres eurent-ils un impact sur le football brésilien?
AlexandreModérateurDans l’hypothèse où elle daigna concourir aux coupes du monde 1934 et 1938, l’équipe d’Uruguay disposait-elle toujours d’arguments sportifs aussi solides que lors des trois championnats du monde précédents? Comment la population vécut-elle la non-participation de son équipe à ces deux tournois?
Que valait vraiment le football uruguayen avant qu’il n’exprimât sa suprématie lors du tournoi olympique de 1924? Quand et pourquoi devint-il un football dominant?
AlexandreModérateurDéjà bravo pour l’initiative, et merci de penser à nous 🙂
En vrac et sans avoir lu le livre :
Exception faite bien sûr des Anglais, les succès de l’Uruguay durent-ils quoi que ce soit à l’un ou l’autre acteurs étrangers, ou furent-ils exclusivement un fait uruguayen, pleinement endogène?
Comment interpréter les tracasseries chroniques dont, ces dernières années, l’Uruguay a été l’objet pour ces 4 étoiles arborées sur son maillot, alors que pendant des décennies cela ne sembla pas susciter le moindre débat?
Y eut-il un fil conducteur entre les sacres mondiaux de la Celeste dans les années 1920, et celui de 1950?
Le football est, d’évidence, un marqueur fort de l’identité uruguayenne. Peut-on dater la genèse de ce lien ténu entre football et identité uruguayenne? Et procéda-t-il en amont d’une volonté politique, ou plutôt spontanément des succès glanés en football?
S’il fallait retenir une poignée de grandes figures pour expliquer la suprématie du football uruguayen dans la première moitié du XXème siècle, quelles seraient-elles?
-
AuteurMessages